~~ BackGround d’Ensorceleuse de Tozi ~~

BackGround d’Ensorceleuse de Tozi

______Prologue :

______Née d'une riche famille de marchands à Prontera, elle eut une jeunesse aisée et paisible. Son père était un forgeron réputé dans ce petit hameau et beaucoup d'étrangers de passage à la capitale, faisaient une petite halte dans son échoppe. Sa mère élevait avec amour sa petite fille : Tozi. ______Elle a les cheveux blonds ( comme sa mère ) une couette qu’elle n’attache jamais car elle n’aime pas les rubans ( ça fait trop bébé ) et donc elle laisse ses cheveux pendre, en revanche elle se coiffe toujours avec beaucoup d’attention pour ne pas avoir d’épis. Sa maison se trouvait entre la forge et la bibliothèque où elle vagabondait avec les enfant de son âge. Elle allait souvent à la fontaine pour bavarder avec une amie à elle nommée Mariel ( n’aimant pas le nom que ses parents lui avaient donné, et elle se faisait couramment appeler MeL et même ses parents s’y étaient résignés).
______Pendant leurs discussions et rigolades autour de ______la fontaine, un jeune garçon les épiait, il se prénommait Chinow et était grand pour son âge, Tozi évitait d’en parler avec MeL car à chaque fois elle rougissait, et de plus MeL et Chinow ne semblaient pas s’entendre à merveille. Mais elle culpabilisait à chaque fois qu’elle le voyait car, comme elle les enfants se moquaient de lui, et pour ne rien arranger se vengeaient physiquement.

______ Première partie : L’enfance innocente

Chapitre I : Une fillette ordinaire

______Tozi était une jeune passant le plus clair de son temps à étudier avec le professeur que ses parents payaient spécialement pour elle, elle apprit très tôt à lire et se démarqua par cette aptitude aux yeux des autres enfants. Ses amis l’a regardaient autrement et elle sentait cela. Le vivant mal, elle choisit de se confier à son amie de toujours, MeL, la fille de la guérisseuse. A elles deux elles avaient l’impression d’être le centre du monde et rien ne comptait plus à leurs yeux que leurs amitiés.
______Alors que Tozi allait sur ses 13 ans, il lui fallait commencer à penser à son avenir. Elle ne se sentait pas prête à faire des choix car cela ne l’a préoccupait pas. Pour l’inciter dans ces choix, ses parents décidèrent de lui prendre un abonnement à la bibliothèque. Tout d’abord réticente, elle changeât d’avis lorsqu’elle vit la montagne de connaissances que regroupaient tous ces ouvrages. N’aimant pas particulièrement tout ce qui tourne autour de la forge, la bibliothécaire lui conseilla un ouvrage sur les potions et leur fabrications. Elle ouvrit le livre qu’on lui tendait . Il y avait notamment des illustrations d’une personne lançant des potions enflammées sur un monstres à l’allure d’une ours de forte carrure qui semblait se débattre de douleur. Malgré son indignation à voir un animal maltraité, elle s’empressa de demander l’accord de la bibliothécaire afin d’emprunter ce livre. Les maigres formalités d’emprunts remplies, elle se précipita à la fontaine pour montrer son livre à MeL.
______Elle était assise sur un banc à proximité de la fontaine et regardait l’eau ruisselée d’un air amusé. Celle-ci ne savant pas encore bien lire, elle se contenta de regarder modestement les images et s’arrêta sur l’une d’elle montrant une femme jeter une potion de lueur blanche sur un de ses compagnons. Elle en fut tout émoustillée car elle ne connaissait que l’usage normal de ces fioles blanches qui consiste à les boires pour se redonner des forces et pour soigner ses blessures. Tozi visiblement pressée d’en arriver au passage qui lui avait le plus plu, tourna vivement les pages et le retendit à son amie pour qu’elle voit de ses propres yeux l’homme jetant la potions enflammé sur l’ours. Connaissant bien son amie, MeL crut d’abord que Tozi lui montrait cela afin de s’indigné du mauvais traitement que l’homme infligeait à l’ours, mais, à son grand étonnement Tozi était fascinée par les pouvoirs de la potion.
______Quelques semaines plus tard après avoir épluché le livre de long en large, elle rendit le livre à la bibliothécaire qui ( sur le conseil de ses parents ) lui tendit un autre ouvrage. Celui-ci était consacré aux perspectives d’emploi que les longues études de raffinements des métaux offraient. Indignée, elle prit le livre à contre cœur et le rendit à la fin de son emprunt sans même avoir prit la peine de lire le premier chapitre. Ses parents n’étant pas dupes, ils eurent une discussion à table au sujet de son avenir.


______- Pourquoi n’a tu pas daigné d’imprégner de la connaissance rare que son le raffinement des métaux ? ( Son père sachant très bien de quoi il était question dans le livre, aurait voulu qu’elle ait un enseignement de base pour l’aider à la forge en ces temps de grandes fréquentations ).
______- Cela ne m’intéresse pas papa. Je voudrais découvrir le monde, et non rester dans un fourneau avec pour seuls amis enclume et marteau.

______Son père ne s’attendant pas à une réponse aussi réfléchie, et malgré sa déception, ne souhaitait que le bonheur de sa fille et ,par conséquent, lui demanda ce qu’elle aimait. Remuant sa main dans sa barbe touffue, il reprit la parole après un bref moment de réflexion et dit :

______- Mais alors, qu’est ce qui te plait ma fille ? dit t’il d’un air encouragent.______- J’aimerai faire comme l’homme dans le livre sur les potions.
______- Cet ouvrage était fait pour te montrer comment te débrouiller si tu es blessée.

______N’ayant connu que le confort et le cocon familial, elle savait bien que c’était sa mère qui s’occupait de cela lorsque son père ou elle était blessée. Ne voyant pas l’utilité que cela pouvait avoir, elle demanda d’une voix hésitante :

______- Comment est ce possible qu’une potion puisse faire du feu ?
______- Ceci dépasse de loin nos capacités et à vrai dire, nous ne s’en soucions pas vraiment.
______- Mais le texte accompagnant l’image expliquait que cela était très utile pour les gens ne maîtrisant ni l’arc ni l’épée. Or c’est mon cas.
______- Tu as tout le temps d’apprendre à te servir de ses armes ma fille. Tu es jeune et tu ne connais que le paisible bourg où nous vivons. Mais il existe des monstres qui vivent dans la plaine au sud de la ville, et certains d’eux ne sont pas commodes, et même très dangereux.

______Voyant que c’était une opportunité pour MeL et elle d’aller découvrir elles même ces bestioles, elle ne s’étala pas sur le sujet. Pour détourner l’attention de son père sur un autre sujet, elle dit :

______- MeL et moi aimons les mêmes choses, gambader dans les rues et rire.
______- Ce sont des choses normal à ton âge, mais il faut penser à ton avenir.
______- Je retournerai demain à la bibliothèque et choisirait un nouvel ouvrage, qui peut-être me donnera des idées sur ce que je souhaite faire plus tard.
______- Très bien. Nous en rediscuterons demain soir alors.

______Elle sorti de table et alla se coucher en planifiant sa journée de demain qui promettait d’être inoubliable .

Chapitre II : Premiers pas dans Midgard

______Dès l’aube, Tozi sortie de la maison après un avoir bu un grand verre de lait. Au moment où elle s’apprêtait à franchir le seuil de la porte une voix caverneuse se fit entendre. Elle fit violemment volte-face, et, le corps parcourut d’une intense sensation de frissons se retourna . . .

______- Où vas-tu comme ça de si bon matin Tozi ?? ( Son père parlant d’une voix grave les yeux encore à moitié fermés )
______- Heuuu… Je vais à la bibliothèque, dit-elle d’une voix anxieuse.
______- Mais ma chérie, elle ouvre au moment où les premiers rayons du soleils percent ses épais rideaux de soie.
______- C’est que je ne voulais pas être en retard.
______- Allons, allons . . . viens donc déjeuner tu as tout ton temps.
______- J’ai déjà déjeuné et MeL m’attend à la fontaine, nous allons passer ensemble à la bibliothèque, dit-elle précipitamment.

______Le père de Tozi connaissait très bien MeL pour l’avoir invitée de nombreuses fois pour le souper. Son père, un vaillant chevalier, fut autrefois l’un des meilleurs client de sa forge lorsqu’il servait le Roi dans la garde. Et c’est notamment grâce à son charisme que son échoppe avec eut une bonne réputation. Ne sachant que dire, il laissa Tozi aller rejoindre son amie.
______Bien entendu, une fois réunies, les deux amies s’empressèrent de se diriger au sud pour enfin savoir ce qu’on leur cachait. Arrivées au carrefour du bas, elle se faufilèrent à travers les maisons de droite pour ne pas être vu par les premiers marchands qui installaient leur marchandises de bon matin. Une fois arrivées en bas, elle franchir le mure en escaladant sans souci car le garde dormait à point fermés.
______Respirant l’air humide et frais du matin en sentant les gouttes de rosées glissées d’un mouvement lancinant le long de ses mollets produit chez Tozi une vaste explosion de joie qui se manifesta par des roulades et des cabrioles. MeL qui était aussi dans un état second se laissa entraîner et toute deux s’amusèrent une bonne heure à rouler dans l’herbe et à mordre les brindilles les plus goûteuses.
______Au bout d’un moment, alors que Tozi et MeL étaient trop préoccupées par leur cabrioles, elles ne virent pas approcher une boule rose d’environ vingt cinq centimètres qui les fixaient maintenant fermement. ______En se roulant sur le coté pour apercevoir le ciel bleu parsemé de quelque nuage qui se dessinait dans le ciel, Tozi tomba nez à nez avec la boule rose et fut pris de soubresauts. Elle resta figée quelque seconde et émit un petit cri strident qui eu pour effet d’attirer l’attention de MeL ( qui prenait un malin plaisir à chercher des fleurs pour confectionner un beau bouquet qu’elle comptait donner à un garçon pour qui elle avait craquée à l’école. MeL avait omit d’en parler à Tozi car celle-ci n’avait jamais fréquentée d’école public). A l’inverse de Tozi était encore toute secouée au point que des gouttes de sueur commençait à ruisseler sur son visage, ______MeL rigola et alla rassurer son amie.

______- Mon père ramène souvent ce genre de bestiole à la maison, et il met même arriver de vouloir en adopter un. Mais, mes parents avaient refuser prétendant que je n’était pas assez mature pour avoir mon propre animal.
______- Mais… ce n’est pas dangereux, dit Tozi d'une voix chevrotante
______- Si ma mémoire est bonne ceci s’appelle un « Poring », ils vivent tout autour de nous et beaucoup de gens les adoptent pour qu’ils les aides dans leur taches ménagères.

______Tozi qui ne s’était visiblement pas remise de ses émotions se releva et alla s’asseoir à coté de MeL qui câlinait le Poring. Elle fut tout de suite attirée par ce petit être flasque, et s’imaginait déjà se baladant dans Midgard avec pour compagnon ce petit animal. Cette pensée mêlée d’excitation et d’appréhension, elle se risqua à tendre la main vers le Poring et lui toucha ce qu’on pourrait appeler le front.
______A son contact, Tozi sentit une sensation d’intense bonheur l’envahir, comme si ce geste désuet était une défi d’une difficulté insurmontable qu’elle venait d’accomplir. MeL rigola à nouveau et lui montra une sorte de cocon qui se tenait accroché dans un arbre.
______Aucune des deux ne sue quelle réaction adopté, mais Tozi, qui avait une curiosité très développée, comme la plus par des enfant de son âge, se rapprocha pour voir de plus près à quoi ressemblait cet étrange cocon noirâtre. Le cocon commença à trembler comme agité d’une énergie interne qu’elle ne parvenait pas à qualifiée. MeL l’a pris par l’épaule d’un geste brusque pour l’incité à reculer mais Tozi ne parvenant pas à détacher les yeux du cocon resta figée longuement pour voir la finalité de la chose.
______Au bout d’un moment, les vibrations de la coquille qui tendait à se détacher, si bien que la coque se fendit et tomba lourdement par terre tandis que ce qui resta pendu à l’arbre découvrit un joli papillon aux ailes argentées. Tozi était émerveillée par tant d’inconnus et se jura de garder ses moments à jamais gravés dans son esprit. Le papillon une fois les ailes déployées s’agita brusquement et disparu sans laisser de traces. MeL n’en cru pas ses yeux et devant la stupeur qui venait de l’envahir laissa échapper un petit cri. Ceci eu pour effet de faire rire Tozi à cœur joie.

______- Il y a l’air d’avoir tant de choses à découvrir dans ce monde, dit-elle d’un ton rêveur.
______- Mon père ne m’a jamais parlé de ses papillons . . . Etrange n’est ce pas ?
______- J’ai trouvé ça très amusant.
______- Mon père dit qu’il faut se méfier de ces monstres qui rodent car certains ne sont pas commodes et n’hésitent pas à attaquer celui qui vient fouler leur territoire.
______- Rentrons si tu le veux bien, la bibliothèque va bientôt ouvrir et je suis impatiente de chercher de plus amples informations sur ces monstres que nous venons de côtoyer.
______- Allons y.

Chapitre III : La soif de connaissances

______Elles arrivèrent avec cinq minutes d’avance devant la bibliothèque. Tozi faisait les quatre cents pas sur le perron et ne cessait de s’agité machinalement. MeL qui ne ressentait pas un besoin vital de pénétrer dans la bibliothèque se contentait de poser le dos contre le mur la jambe en équerre pour mieux se stabilisée.
______Dés que la porte s’entrouvrit, Tozi se précipita à l’intérieur sous le regard interrogateur de la bibliothécaire. MeL l’a suivait de près se laissant entraîner par tant de fougue. Tozi regarda d’abord le nom des rayons afin de se diriger vers les informations qu’elle recherchait. Un ouvrage intitulé Les créatures qui nous entourent de Morgenstein attira son attention tout particulièrement car c’est bien cette sensation d’être cernée de toute part de monstres plus étranges les uns que les autres.
______Elle l’ouvrit en plein milieu dans l’espoir de trouver par hasard l’information qu’elle cherchait et elle fut très étonnée de voir une image d’une boule flasque verte semblable a celle qu’elle avait croisée en gros plan. Tozi lut le paratexte à haute voix car elle sentait dans son dos MeL qui s’agitait pour partager ses instants avec son amie. « Monstre adulte, il se trouve dans les plaines, ou bien quelque fois dans le désert bien qu’il ne soit pas fait pour cet écosystème contrairement au Drops qui lui peut survivre sans problème dans les plus arides lieux. Il est comme on le décrit le plus fréquemment le Poring des Champs en comparaison au Marin qui vit dans un milieu aquatique, et au Drops qui vit dans le désert ». Tozi était trop curieuse pour ne pas prendre le temps de lire plus en détail ce fabuleux trésor qu’elle tenait entre ses mains.
______Elle sortit avec MeL et alla s’installer près de la fontaine pour étudier en détails chaque monstre présent dans ce livre. S’être enrichie de tant de connaissance et d’aventure en une journée, le soir tombait et Tozi n’avait eu pour repas qu’une pomme qu’elle avait prise dans la corbeille avant de partir le matin.
______Elle rentra donc chez elle le ventre creux. Sa mère, qui commençait à se languir d’une si longue absence sera sa fille fort dans ses bras lorsqu’elle rentra à la maison. Elle lui avait préparée ses mets favoris tels que un gâteau aux pommes et du jus de raisin qu’elle sirota en attendant son père, qui revenant de la forge aurait sûrement beaucoup de question à lui poser. ______Elle se demanda d’ailleurs pourquoi il traînait tant, elle pensa qu’il. Lorsqu’il rentra, il déposa une dague encerclée d’un petit ruban rouge qu’il tendit à Tozi et lui dit :

______- Bon Anniversaire ma petite Tozi.
______- **se tapant la tête et déçu que MeL ne s’en soit pas rappeler** J’avais oublié, merci.
______- Regarde comme cette dague est belle. Je l’ai forgé spécialement pour toi. Elle est recouverte d’un alliage magique qui donne à celui qui l’utilise une célérité d’adresse et une agilité accrue.
______- **qui était toute retournée à la vue de se cadeau** Papa, je ..

______Mais avant qu’elle est le temps de finir, son père l’interrompit, et lui dit :

______- Ta mère et moi ne souhaitons que ton bonheur, ne soit pas dupe, nous savons que tu es allée avec ton amie à l’extérieure de la ville, et il était, à vrai dire, temps que tu dépasse les limites imposées aux enfants de bas âges. Vois-tu, tu ne connais que très peu de chose du monde qui nous entoure et c’est pourquoi j’ai pris une journée de congé demain pour aller avec toi dans les plaines qui entourent notre bourg. Je te montrerai comment te servir de ce précieux cadeau, et tu affrontera des monstres de bas niveau pour avoir une petite expérience de combat.

______- Merciiiiiiiii Papa. Vivement demain !, dit-elle d’un ton faisant ressortir toute ses émotions.

______Sur ce, elle alla se coucher, le cœur battant, et la tête pleine d’image de sa journée. Elle était épuisée après cette journée remplie d’émotions.
______Le lendemain, elle prit la dague qu’elle avait soigneusement posée sur sa table de chevet, mit une sorte de cape, un capuchon, un le bandeau d’indien avec lequel elle jouait en clamant des cris mimant la détresse d’un indien, des sandales que sa mère avait pris soin de cirer ainsi qu’une ceinture assez lourde que son père lui dit de reposer car cela ne lui serait d’aucune utilité, puis elle suivit son père en bas
______Arrivés dans la plaine, Tozi suivait son père de près car elle ne savait pas bien où il l’emmenait. Il s’arrêta près d’une boule rose dont Tozi connaissait maintenant les caractéristiques, et dit :

______- Ceci comme tu le sait peut-être déjà est un Poring. Ils appartiennent aux monstres de bas niveau et sont des cibles faciles pour ceux qui désirent avoir une initiation au combat. Sort ta dague et frappe le.
______- Mais papa, je vais le blessé, dit Tozi visiblement indigné à l’idée de se battre contre ce qui était peut-être son ami de la veille.
______- Il faut que tu sache, que même cette créature te paraît gentille, certaine d’entre elles sont méchantes et agressives. C’est pourquoi il faut que tu apprenne à te défendre.
______- N’y a t’il d’autres monstres par ici hormis ce joli Poring ?
______- Si il y en a un peu plus loin à l’est. Suis moi.

______Après avoir fait quelque hectomètre, le chemin montai légèrement mais Tozi, n’y fit pas attention car elle était trop pressée de faire face à un monstre. Après être montée pendant une à deux minutes, Tozi vit de petits lapins blancs qui sautaient dans l’herbe grasse. Son père qui venait de se retourner observa sa fille qui faisait face à ces lapins.

______- Ce sont des Lunatics, ils sont comme les Porings simples à amadouer, et tu peux en faire ton compagnon.
______- Je sais que les Porings aident les humains à ranger leur affaires, mais qu’en est-il de ce lapin ?
______- Il a le pouvoir de porter chance à son propriétaire.
______- Quel genre de chance ?
______- Par exemple, lorsque je forge une arme difficile à réaliser, je fais appel à eux, pour augmenter mon taux de réussite.

______Même si, ce n’est qu’à vrai dire un apport psychologique, il m’arrive souvent d’en utiliser : cela me met dans de bonne conditions pour réussir. A ce propos, il faudra que je te présente Mitaf, c’est un homme d’église qui met les dieux de ton coté pour un bref instant, ce qui par conséquent, augmente de manière significative le taux de réussite d’une forge. Mais c’est un homme débordé depuis que le Roi l’a nommé au poste d’enseignant pour les jeunes acolytes.

______- Il y a tant de choses à découvrir dans ce monde, dit Tozi d’un ton rêveur.

______Puis ils continuèrent à marcher en direction de l’est.

Chapitre IV : Premiers combats

______Ils continuèrent leur chemin jusqu’à un pont en pierre assez moderne orné de belles dalles en marbre. Ils traversèrent le pont et arrivèrent une petite ville du nom de Izlude. Ce petit hameaux richement décoré laissait Tozi rêveuse. Ils avancèrent et montèrent un peu au nord où une cheminée fumait. Ils arrivèrent devant la porte dont l’enseigne était « Salle d’entraînement ». Son père lui fit signe de monter un peu plus haut où était posée une charrette débordante de fleurs ainsi qu’un étalage de viandes et de poissons. ______Tozi acheta un bouquet pour sa maman et son père prit quelques pièces de viandes agilement découpées par le boucher. Puis ils retournèrent à la salle d’entraînement. Il y avait de vaste tapis posés à terre et des monstres tous plus effrayant les uns que les autres regardaient Tozi avec mépris.
______Elle se sentait toute perdue et son père lui donna la main pour l’a rassuré. Il l’a conduisit vers un espèce de monstre vert qui devait faire deux fois la taille de Tozi. Elle serait la main de son père de toute ses forces mais celui-ci l’a fit lâchée et lui l’amena sur le tapis où se trouvait un monstre beaucoup plus petit que Tozi surplombait, la tête haute, elle se sentait à nouveau en position de force et alla se poster devant le petit vers pour l’affronter.
______Son père mimait un geste du bras pour l’inciter à frapper, ce qu’elle fit sans plus attendre. D’un geste hésitant elle tendit le couteau vers le monstre en question qui l’a dévisageât. Il fit volte face, et voyant que Tozi s’avançait maintenant vers lui la dague pointée sur sa tête, il l’a fit trébucher. Elle tomba lourdement sur le sol mais se releva, et il se produisit quelque chose de bizarre. Elle sentait une vague de rage l’emporter et d’un geste vif elle trancha le petit ver en deux. Fière de ce qu’elle venait d’accomplir, elle se retourna vers son père qui hocha la tête comme dire bravo. Elle se félicita elle même et une sensation de réconfort l’envahissait.
______Elle abattit d’autres monstres avec sa dague qu’elle finit par manier avec fermeté. Le soir, lorsqu’ils rentrèrent elle alla méditer dans sa chambre sur l’expérience prometteuse au combat qu’elle venait de recevoir. Chaque jour elle allait s’entraîner et elle finit par atteindre une souplesse et une vivacité précoce pour son âge.

Chapitre V : Le départ de MeL et le voyage pour Geffen

______Les jours ensoleillés d’août laissèrent place aux journées brumeuse de septembre. Tozi avait maintenant quatorze ans, et ils fallait faire des choix sur son avenir. Elle s’assisse dans les pâquerettes qui ornait le sol au pieds de la fontaine. Regroupée sur elle même, reposée sur les genoux, elle parlait avec MeL de ses projets. Mais MeL allait partir pour une contrée éloignée du nom de Yuno car son père y avait décrocher un travail à l’académie des sciences.
______C’était l’heure de la séparation, et Tozi pleurait à chaudes larmes en faisant des geste lancinant du bras comme pour accompagner le bateau qui emmenait sa copine très loin d’ici. Elle se souviendrait longtemps de ses moments passés au côté de sa meilleure amie et se promit de garder ce souvenir dans sa mémoire.
______Tozi avait maintenant le privilège d’appartenir aux membres de la bibliothèque et malgré son jeune âge elle se sentait à sa place, entourée de tous ces livres. Elle lut entre autre un livre sur la magie, et elle en fut fascinée. Voyant comment un magicien assez âgé avec un cape bleu tachée de marron, repoussait avec confiance un montre de six mètres de haut très effrayant qui avait pour nom « Le Seigneur de l’effroi », un déluge de météores semblait tomber de nul part au dessus de la tête du magicien mais il se concentrait sur son invocation de la Tempête de Neige. Il invoquait selon elle, l’hiver, et le monstre ne pouvait pas pénétrer à l’intérieur de cette zone, malgré son acharnement. Elle décida, avec l’accord de ses parents, de faire des études de magies primaires à Geffen.
______L’heure du départ approchait et Tozi faisait les quatre cents pas devant la porte en s’efforçant de penser aux choses qu’elle aurait pu oublier. Puis on vient l’a chercher pour l’emmener sur un PecoPeco à Geffen. Elle était épuisée et s’endormie vite, elle ne vit même pas les endroits qu’ils traversèrent.


______ Deuxième partie : La magie, initiation et début prometteur

Chapitre I : Amies pour la vie

______Quand elle se réveilla, elle se trouvait dans une chambre avec son repas servi sur un plateau. Elle mangeât sans faim, puis e coucha sur son lit sans penser à ce qui se trouvait à l’extérieur de la pièce, jusqu’à ce qu’un homme vienne y frapper.

______- Bonjour, je suis Paaty, votre guide durant l’initiation au cours de magie. Veuillez me suivre s’il vous plait.
______- J’arrive, dit t’elle d’un ton excité.
______- Par ici, je vous prie.

______Ils traversent un vaste couloir orné de tableaux de magiciens célèbres, mais Tozi ne reconnut pas l’homme qui combattait le Seigneur de l’effroi qu’elle avait vu dans le livre. Elle ariva dans une salle où se trouvait beaucoup de gens de son âge assis à des bureaux en bois, que l’on pouvaient ouvrir en soulevant le dessus, un encrier posé sur le bord doit et une plume, déposée sur un feuille. Tozi se mit à la place qu’on lui indiquait et commença à lire le questionnaire. Les premières question portaient sur les Poring et leur cousins. Elle n’eut aucun mal à trouver les réponses, mais en revanche elle rendit feuille blanche sur l’invocation des sortilèges élémentaires car elle n’en avait jamais entendu parler. Deux heures plus tard, une cloche retentit, et tout le monde sorti. Qu’elle ne fut pas sa surprise lorqu’elle croisa le regarde de . . .

______- MeL !!!!
______- Tozi !!!!
______- Comme je suis contente de te voir !
______- Et moi donc ! Mon père, grâce à son travail à obtenu bourse du Roi pour moi, j’avais tellement peur de te perdre . . .
______- C’est un immense soulagement de te savoir ici MeL, je suis si contente !!
______- Viens, allons voir dehors, et explorer la ville.
______- Je suis fatiguée et je n’ai pas trop envie de sortir désolé.
______- Bon très bien, allons dans ta chambre si tu le veux bien.

______A sa grande surprise, on avait installé un autre lit à coté du sien, pour MeL. Elle s’allongeât sur son lit et commença à scruter machinalement le plafond comme si elle allait avoir une apparition. On leur apporta quelque temps plus tard un uniforme ressemblant étrangement à l’idée qu’elles se faisaient des indiens. MeL, qui s’était coupé les cheveux assez court, de manière à les ébouriffer un peu, reçu une uniforme marron, et Tozi, une uniforme blanc.

Chapitre II : Les premiers sorts et la sortie aux Agriopes

______Tozi tout comme MeL avaient hâtent de lancer leur propres sorts, elles maîtrisèrent les boules élémentaires à la fin du premier trimestre avec assez peu d’efficacité, mais leur invocations étaient rapides, ce qui leur fit réussir le test de fin de cycle qui se contentait de vérifié l’acquisition des sortilèges de bases. Tozi apprit, contrairement à MeL à identifié un monstres grâce à une sonde psychique de naissance. En effet, cela avait pour effet de faire connaître à Tozi tout plein d’informations sur le monstre qui se trouvait en face d’elle. Elle commença alors un petit journal intime où elle nota toutes les descriptions de monstres qu’elle connaissait. Une sortie avant noël prévoyait d’emmener les élèves combattrent de grands mille pattes verdâtre que Tozi n’avait vu qu’en photo.
______Noël arrivait à grand pas, et la neige tombait à intervalles réguliers sur la commune de Geffen. Le maître s’occupant du feu, leur appris à invoquer un mur de feu de tellr façon que le montre qui se trouvait en face d’un mage ne puisse l’atteindre au corps à corps. Tozi n’arrivait pas très bien à invoquer ce mur, voir même pas du tout, au contraire, MeL se débrouillait très bien. Elle alla voir le professeur de magie défensive non-élémentaire pour apprendre un moyen de se défendre contre un agresseur armé. Mais celui-ci lui dit qu’il ne pouvait rien pour elle car elle ne connaissait pas encore les sorts qui affectent l’esprit.
______Elle fit donc équipe avec MeL qui invoquait le mur de feu, et Tozi faisait tomber sur le milles pattes une violente secousse enflammée. S’étant exercée de nombreuse fois, elles formaient une fine équipe à présent et terrassaient sans mal les Argiopes. Cela leur valu une mention spéciale au retour du stage, et de plus, le maître leur offrit à chacun un parchemin portant le nom du monstre qu’elles venaient de tuer. Enfin, elles étudieraient les sorts affectant l’esprit à la rentrée.

Chapitre III : Retour au bercail

______Les vacances arrivées, Tozi fit ses bagages et dit au revoir à MeL en l’a serrant bien fort contre soi. Son père vint l’a cherchée à la sortie de l’école et ils partirent pour la maison. La discussion s’engageât sur les progrès que Tozi avaient fait.
______Elle lui montra les boules élémentaires qu’elle projeta avec succès devant les yeux émerveillés de son père. « Je suis très fière de toi ma petite Tozi » , lui dit-il en lui déposant un bisous sur le front. Elle lui parla de surtout de MeL et de la sortie aux Agriopes car le reste passait en second. Puis ils arrivèrent à Prontera, passèrent devant la forge qui resplendissait et arrivèrent sur le palier de la maison où sa mère se jeta sur elle pour l’a serré aussi fort qu’elle pouvait dans ses bras. Après les réjouissances du retour à la maison de leur fille, les parents de Tozi voyaient bien qu’elle avait la tête ailleurs et lui proposèrent alors d’aller à la bibliothèque pour qu’elle reprenne des repères. Elle accepta, puis sortit de la maison pour aller à la bibliothèque. Mais celle-ci était fermée, désespérée, elle alla en direction près de la fontaine.

Chapitre IV : Deux nouvelles connaissances


______En arrivant près de la bibliothèque, elle fut percutée par un jeune garçon d’à peu près son âge, les cheveux bruns en bataille Tozi tomba lourdement sur le sol et avant d’avoir pu sortir la première injure qui lui passait par la tête , le garçon se pencha précautionneusement puis lui tendit le bras. Ne s’attendant pas à un signe d’attention, elle lui laissa saisir son bras pour la hisser sur ses deux jambes. Elle était prise par ses émotions et ne sachant que faire elle se contenta de regarder le jeune homme, sûrement âgé d’une quinzaine d’années filer à travers les maisons du bourg en direction de l’église. Encore sous le choc du coup, Tozi ne vit pas arriver des agents de l’ordre. Ils l’a questionnaire sur la direction qu’avait prit le fugitif, mais elle mentit honteusement en espérant que ce beau jeune homme se souvienne d’elle.
______Elle venait de sauver d’une sanction judiciaire, un jeune voleur pas encore très habile, et elle allait apprendre à dévoiler ce qui ne peut être vu par les gens qui n’y font pas attention. En effet, au bout de deux trois jours, Tozi maîtrisait le sort de Détection et une boule d’une pale couleur orangée tournoyait autour d’elle lorsqu’elle se concentrait. Au début, le boule ne tournoyait qu’une seconde, puis avec de l’entraînement, elle parvint à la garder près de cinq secondes, ce qui était une performance remarquable pour une magicienne si jeune. Plus tard, il prendrait la forme d’un troisième œil scrutant avec attention chaque détails du monde qui entoure le lanceur et dévoilant tout ce qui s’y trouve.
______Les vacances tiraient à leur fins, et Tozi se languissait de retournée à l’école. Elle traînait sur le banc , elle s’asseyait maintenant les jambes pliées devant elles pour ne pas abîmer sa tenue de magicienne à laquelle elle tenait tant.
______Un après midi glacial s’était installé sur Prontera, et Tozi décida d’aller se réchauffer à l’église de Prontera où les cloches sonnaient de toute leur forces car le Roi unissait deux êtres par les liens sacrés du mariage. ______A peine arrivée, elle se fit arrêter par un garçon assez louche qui souhaitait lui parler. Elle refusa et continua tout droit sans se retourner pour cacher sa peur. Elle pénétra dans le lieu de culte et se senti revigorée par les essences spirituelles qu’un serviteur du Roi faisaient savamment brûlées. Elle reconnu l’homme dont lui avait parler son père, celui qui « mettait les Dieux de ton côté » ces mots résonnait dans la tête de Tozi, et elle décida de lui parler pour en savoir plus sur ses occupations et le moyen de « mettre les Dieux de ton côté ».

______- Je n’ai pas le temps excuse-moi, je suis très occupé ces temps, et encore plus un jour de célébrations… Quelle dures épreuves que d’enchaîner Noël, les mariages, les baptêmes qui sont si nombreux en ces périodes de fêtes, se lamenta-il en s’essoufflant tout en passant son chemin à pas vifs.

______Tozi n’osa pas le déranger plus longtemps et elle posait désormais son regard sur un jeune homme et elle s’empressa de lui demander son nom, pensant que c’était un élève de Mitarf.

______- Bonjour, dit-elle timidement
______- Yop !
______- Comment t’appelles tu ??
______- Mæntis
______- Comment- vas tu ?
______- Bien, je viens de réussir mon évaluation de soin primaire, et Mitarf, mon maître, va me gratifier d’un titre honorifique d’acolyte. En effet, je suis capable de soigner les personnes blessées.
______- Puis-je voir comment tu fais pour soigner les personnes qui souffrent ?
______- Aucun problème.

______Tozi était toute excité de voir ce jeune homme se concentrant pour lancer un soin primaire. Il se dirigeât vers l’infirmerie, puis se pencha vers une vieille dame au teint violet, son état semblait se dégrader au fil des minutes, mais Lorsqu’il s’exécuta, elle ne vit pas bien comment il s’y était prit, mais elle vit que la dame prenait la main de Mæntis en signe de reconnaissance. Tozi le questionna sur ce qu’il venait d’accomplir.

______- Je n’ai rien compris à la façon dont tu t’y es pris pour soigner cette vieille dame.
______- ** en rigolant ** Je n’ai fais que calmer sa douleur pour un bref instant. Cette dame est toucher par un poison trop puissant pour moi, et seul Mitarf peut y remédier.
______- Je vois.

______Elle sortit le parchemin qu’elle avait trouvée en tuant des Agriopes et le tendit à Mæntis.

______- Ceci est très rare, tu as du beaucoup tuer d’Agriopes pour obtenir cet objet.
______- ** trop fière pour dire que l’on lui avait donné ** Oui. Mon amie et moi avons terrassé une multitude de ces bestioles.
______- Tu dois être très forte alors, dit Mæntis d’un ton moqueur.
______- Je suis à la prestigieuse école de magie de Geffen.
______- Tu dois être très forte alors, dit Mæntis d’un ton laissant cette fois percevoir qu’il n’y croyait pas du tout.
______- ** toute énervée ** Arête ça ou je te fait sentir la puissance de ma boule enflammée
______- ** tremblant quelque peu sous la menace ** Tu n’oserais pas ici, c’est un lieu de culte. N’y pense même pas.
______- C’est exact, mais ça ne te donne pas le droit de te moquer de moi pour autant.
______- Pardonne moi, mais tu fanfaronnais un peu trop.

______Tozi se sentit mal à l’aise et essaya une autre approche avec Mæntis :

______- Peut-tu m’en dire plus sur …

______Mæntis commençais à partir car Mitarf avait besoin de lui pour la cérémonie. Déçue,
Tozi alla se réfugier à la bibliothèque. Sur le chemin, en contournant la bibliothèque par la droite, elle vit le même garçon qu’hier. Elle ne put s’empêcher de remarquer comme une étrange similitude entre Mæntis et ce garçon. Il épiait les entrées et les sortie de personnes de la bibliothèque.

______- Que fais-tu la ??
- **sursautant** Qu.. A c'est toi. A euh... ben c’est la que je traîne **gêner** désoler pour hier j'ai pas regarder ou j'allais. Je t'ai pas fais mal ?
______- Ce n’est rien , plus de peur que de mal ... Mais comment appelles- tu ?
______- Chidori , et toi c’est quoi ton pti nom ?
______- Tozi, dit-elle en riant, mais c’est aussi grâce à moi que la garde ne t’a pas retrouvé. En effet, je leur ai indiqué la guilde des chevaliers alors que tu partais en direction de l’église.
______- Oh ! Je ne savais pas, je n’avait pas chercher à comprendre pourquoi ces deux lardons n’en avaient plus après moi.
______- Au fait, que faisait tu ici, dans la bibliothèque ? Et pourquoi ces gardes te couraient t’ils après ? As-tu enfreint le règlement ?
______- Ben.. J’peux pas avoir leur espèce de badge, alors j’me débrouille…
______- J’ai un abonnement à la bibliothèque, peut-être souhaites-tu emprunter les livres par la manière ‘normale’ ?
______- Nan, ça ira , me démerde très bien tout seul.
______- Si tu es à la recherche d’informations secrètes ou qui ne me regarde pas je comprends. Néanmoins, je ne cerne pas ton problème, il me parait évident que tu comptes te lancer dans le vandalisme et le vol, mais je ne vois pas en quoi cela peut t’apporter de lire des livres.
______- ** qui semblait déstabilisé ** Bon j’vais ête franc avec toi mamselle Tozi, j’veux des infos sur mon futur taff.
______- Je ne vois pas exactement de qu’elle genre d’informations tu peux trouver dans cette bibliothèque car je connais le nom des rayons par cœur et il n’est inscrit nul part que les livres contiennent une quelquonque mine d’informations.
______- ** ne voulant pas s’étaler sur le sujet ** Heu, j’ferrai bien de filer tant que ya personne en vue.

______Tozi le regarda se faufiler avec adresse d’abord le long du mur puis montant les marches et enfin pénétrant à l’intérieur. Quelques secondes plus tard, il ressortait avec un nouvel ouvrage entre les mains en s’enfuyant au pas de course le livre serré contre lui.
______Elle y trouvait toujours le réconfort qu’elle cherchai, et notamment aujourd’hui où elle tomba par hasard sur un ouvrage décrivant la façon d’enchanter les armes avec les parchemins recueillis sur les monstres.
______« La méthode est des plus simple. Prenez votre objet et déposer le devant vous. Lisez ensuite le texte à haute et intelligible voix. Mais il faut, pour que le parchemin soit activé, que l’objet en question soit qu'il soit fait dans un matériau qui lui permet de recueillir des pouvoir des incantations secrètes que les monstres, anciens soldats de Helimat ont gardé précieusement, source de la puissance de Helimat attendant leur maître pour leur remettre ces pouvoirs »
______Tozi lut plusieurs fois le parchemin en y mettant même une tonalité différente à chaque fois. Cela l’a faisait rire toute seule. Au bout d’un moment, se lassant de répéter encore et toujours le même charabia, elle décida d’aller demander à son père s’il savait comment s’y prendre. Ce fut la première fois que son père ne sut comment lui expliquer. En effet, les choses les plus évidentes aux uns, peuvent paraître incompréhensible pour d’autres. Son père ne sachant que dire hésita un long moment puis en hochant la tête dit :

______- Hé bien. . . disons que le matériel dont tu es équipée est de mauvaise facture, il est simplement fait de tissu que tu peux trouver sur le marché alors que les objets pouvant être enchantés sont des objets que tu trouves sur les monstres que tu tues. Peu d’entre eux en possèdent, mais en trouver un signifie posséder un objet d’une grande valeur.
______- Je pourrais en trouver à la salle d’entraînement ??
______- Je ne pense pas que les monstres possèdent des objets là bas. Mais en revanche, tu peux peut-être arriver à te trouver ton premier bâton. Nous irons demain dans la plaine que tu connais bien.
______- Merci. Papa, j’espère que la chance sera de notre coté.
______- Bonne nuit Tozi.
______- Bonne nuit papa.

Chapitre V : Ne pas attaquer sans être sur de vaincre

______Pleine d’espoir, Tozi s’équipa le lendemain et se coiffa comme à son habitude avec grand soin, elle s’aperçut qu’elle aimait de moins en moins ses cheveux long, et décida qu’en remontant de la plaine, elle demanderait à sa mère de les lui couper. C’est ainsi que son père et elle partirent à l’aventure une nouvelle fois, et comme à son habitude, le voyage promettait d’être riche en émotions. Tozi aimait être avec son père car elle se sentait en sécurité. C’était un homme avec une imposante carrure capable de manié avec souplesse les plus grandes haches. Mais à y réfléchir, elle n’avait jamais vu son père se battre.
______Après avoir passé le plus clair de son temps à rêvasser, Tozi s’aperçut qu’ils étaient arrivés et que déjà, des formes se dessinaient dans les hautes herbes. Elle se tenait près de son père comme dépendante de lui, attendant qu’il lui indique le chemin à suivre. Lorsqu’il lui montra une cible isolée, elle passa devant et vit avec stupeur un Poring seul au milieu de cet endroit qu’elle connaissait si bien. De ses grand yeux ronds, il examinait les deux humains face à lui. Il ne fuyait pas car il ne se sentait pas en danger, néanmoins, il gardait les yeux fixés sur les deux humains lui faisant face au cas où ils tenteraient quelque chose.

______- Vas-y Tozi, montre moi comment tu fait pour lancer ta boule élémentaire de foudre.
______- Mais papa, il est sans défense, je n’ose pas . . .
______- Allons ma fille, voilà deux fois que tu te défiles devant un Poring . . . Pourquoi est-ce donc si difficile pour toi de le tuer ? ______Tu n’as du laisser aucune chance aux Agriopes que tu as violemment brûlées à vif, mais tu ne veux pas foudroyer ce petit Poring . . . Décidément, je n’y comprends rien. Toi qui voulais . . .

______Voyant son père visiblement décontenancé, Tozi lui répondit le plus franchement possible :

______- A l’école on nous enseigne de ne « jamais attaquer un adversaire sans être sur de vaincre », et il se trouve que je ne parviendrai pas à me concentrer sur cette innocente boule rose pour lui infligé un cruel châtiment.
______- Mais alors comment compte tu avoir ta baguette de sorcier ??
______- J’en trouverais une. Mais ce ne sera pas moi qui aurait attenté le pauvre Poring.

Chapitre VI : Un compagnon d’aventure

______A partir de ce jour, Tozi savait fermement qu’elle n’attaquerait jamais un Poring, « ils sont si faibles et si mignons » se dit-elle. Finalement, ils s’assirent dans l’herbe grasse et mangèrent le repas que la mère de Tozi leur avait soigneusement préparé. Ils allèrent, après que Tozi est finie de croquer sa pomme un peu plus bas. Elle n’avait plus très faim et jeta à terre sa pomme qu’elle trouvait trop acide, un Poring se jeta dessus et l’avala goulûment.Mais Tozi et son père ne virent pas cette scène.
______En revanche, quand ils entendirent « Splub Splub Splub » Comme un bruit de fond récurent, ils se retournèrent et virent que le Poring les suivaient. Son père comprit tout de suite mais laissa Tozi pensive. La petite boule rose alla se frotter contre la jambe de la petite fille qui se baissa s’en se rendre compte de son geste pour le caresser. Il était d’une étonnante douceur au toucher, aussi lisse que la table en bois que la mère de Tozi frottait et cirait jusqu'à ce que l’on ne voit plus aucune trace de doigts. Il sentait aussi bon les pommes mûres et Tozi s’imprégnait de cette odeur qui lui rappela vaguement les tartes à la pomme de sa mère. Son père se décida enfin à parler.

______- Inconsciemment, tu viens de faire de ce Poring ton ami. Ce qui est étonnant c’est qu’il se soit si vit attaché à toi. Regarde, il a l’air déjà amical. En temps normal, il faut quelques jours pour que le Poring se risque à se frotter où encore se laisser caresser par une main inconnue. Mais comme tu épargnes avec tant de gentillesse son espèce, il est raisonnable de penser que tu l’a emplie d’allégresse. Vois-tu, ce Poring, si tu le traite avec amour, que tu prends soin de lui, peut devenir un compagnon de route fidèle et dévouer. Par cotnre il te faut savoir que celui-ci n’attaque jamais.
______- Parce qu’il y a des gens qui osent faire combattrent leur animaux . . .
______- En effet, il n’est pas rare de voir un petit démon accompagnés certains moines.
______- Cela est inhumain . . .
______- Au mais, ce genre de démon est très perfide. C’est un esclave de l’un des plus puissant monstres que porte cette terre même ses sujets sont très fort et personne n’a encore jamais oser s’en prendre à Baphomet .Il se nourrit exclusivement de miel d’Anthell et pour ça ils obligent leur maîtres à faire de véritable carnage. . .
______- De toute manière je n’aime pas les araignées, dit Tozi d’un air dégoûté
______- Il est aussi de coutume de massacrer des tortues et de faire de leur chair un bouillie que les Baphomet.Jr aiment tout particulièrement. Je ne sais moi même pas où se trouve son quartier général et je ne cherche pas à le savoir.
______- Je n’ai pas peur de ce monstre, dit Tozi s’en savoir pourquoi elle disait ça
______- Tu as tord de te penser intuable. Je n’ose pas imaginé ce qu’il te ferait si tu tentait de le vaincre . . .

______Tozi sentit le Poring qui se détacha de ses jambes pour aller gambader un peu plus loin. Ne comprenant pas, elle ne chercha pas à le rattraper, mais elle n’eut pas le temps d’y réfléchir car déjà son père lui soufflait de le suivre.
______Elle s’exécuta sans comprendre le sens de ses actes, mais elle comprit tout à coup lorsque le Poring revient vers elle. Voyant que l’humain lui témoignait un signe d’affection, le Poring revenait vers celui ou celle qui le lui avait manifesté. Elle demanda la confirmation à son père :

______- C’est exactement ça ! A une exception près, pour que l’animal sente vraiment que tu lui témoigne de l’affection où une attention tue particulière, il faut le nourrir, et ce à chaque fois qu’il s’éloigne.
______- Mais je n’ai plus de pomme . . .
______- ** en sortant sa propre pomme de son sac ** Tu n’as qu’à lui donner la mienne.
______- Merciiiiiiii papa !!

______Tozi prit la pomme et alla voir le Poring en lui tendant la pomme le bras tendu quelque peu tremblant. Anxieuse, elle ne comprenait pas pourquoi l’animal n’avait pas prit sa pomme. Son père lui faisait signe de l’a posée par terre et de reculer. Elle s’exécuta et fit quelque pas en arrière. Le Poring fit alors quelque bonds en avant ‘’Splub Splub Splub’’ et dévora la pomme en remerciant Tozi par un clin d’œil.

______Troisième partie : Splubby et le deuxième semestre

Chapitre I : Splubby

______De retour en ville, Tozi aperçut, Mæntis, et elle fut obligée de constater que la ressemblance entre Chidori et Mæntis était frappante. Il se baladait avec un bâton magique dans la main. Etant toute fière de lui montrer comment elle avait adopté un Poring, bien qu’en réalité se soit le Poring qu’il est adopté. Elle se dirigeât vers lui et dit :

______- Bonjour Mæntis comment vas-tu ?
______- Très bien merci et toi ?
______- Ça va. Tu peux me montrer ce que tu tiens dans la main s’il te plait ?
______- Bien sur.

______Il tendit son bâton en bois à Tozi, lorsqu’elle l’eut dans les mains, elle se sentie tout de suite à l’aise avec. Une magicienne avec une baguette en bois, ça avait vraiment un look d’enfer se dit-elle. Tozi agita le bâton de bas en haut, elle le prenait à deux mains car elle était encore trop petite pour pouvoir le porter d’une seule main. Après plusieurs tentatives sans succès, elle se mit à se concentrer comme elle le faisait pour jeter le sortilège de boule élémentaire de feu. Après un bref instant, elle sentit qu’elle était prête à lancer son sortilège. Mæntis la regardait avec étonnement car il n’avait pas l’air de comprendre ce qu’elle faisait. Tozi qui savait que son sortilège était prêt visa un arbre qui s’enflamma aussitôt. Heureusement, son feu n’était pas puisant et la saison ne s’y prêtait pas alors seule une petite branche tomba à terre, brûlée. Mæntis qui avait observé la scène trouvais que le bâton collait parfaitement au personnage de Tozi, et pour se faire pardonner de l’avoir mal estimée à l’église, il le lui offrit gracieusement son bâton.

______- Merci mille fois, dit Tozi tout sourire.
______- De rien, et pardonne moi encore pour mon mauvais comportement lors de notre première rencontre.
______- C’est oublié. Au fait, je voudrais te montrer mon animal car vois-tu, il fait grise mine.

______Tozi tendit le bras et pointa le Poring qui l’a suivait désormais partout où elle allait. Mæntis, pour qui la solution à son problème paraissait évidente, dit simplement :

______- Il a faim, tout bêtement.
______- Mais il a mangé il y a peine quelque instant.
______- Cela n’a pas du lui suffire, dit t’il en riant
______- Ce Poring, je devrais le nourrir aussi fréquemment tout le temps ?, dit Tozi qui paraissait désemparée à la vue d’ une telle responsabilité.
______- Oui, mais si tu lui donne ce qu’il aime, il ne mangera qu’environ deux à trois par jour. Les animaux domestiqués, reprit t’il car il semblait maîtriser son sujet, ont une nourriture qui leur est propre. Pour en avoir une idée, il faut regarder ce que le monstre en question à manger, pour ton Poring, c’est assez simple et très connu, il mange des pommes.
______- ** Tozi paraissait d’une part émerveillé par ce petit acolyte et d’autre part très contente que son animal ait les mêmes goût culinaires qu’elle ** Comment sais-tu tout ça ?
______- Hé bien, j’ai moi même fait l’expérience. Je suis un grand amateur de pomme, et je voyais lds Porings me suivant à la trace. J’ai alors lancée ma pomme un peu plus loin pour voir si c’était ma pomme où moi qu’ils voulaient, ils se dirigèrent, emplis d’allégresse, d’un seul bloc vers le morceau de pomme que j’avais lancé. Je compris alors que cela devait être un des aliment qu’il préfère.
______- Je vois, moi si plein de Porings m’avait suivit, je crois que je serait rentrée en ville pour m’en débarrasser, en espérant ne plus avoir à faire à eux, mon père m’a souvent dit que lorsque des monstres identiques se regroupent, ils forment une sorte de tribu qui contient en général cinq , six membres et un chef qui se distingue par un objet qu’il porte où bien une taille plus imposante.
______- Alors il me semble avoir déjà croiser un chef de tribu Poring, car un plus gros que les autres se faisait suivrent fidèlement par cinq Porings visiblement trop heureux d’appartenir à un groupe.
______- Il faudrait que je le rajoute au livre que j’ai débuté alors.

______Puis ils se dirigèrent vers le marché où Tozi acheta une pomme que son Poring mangeât goulûment. Mæntis qui semblait intriguer depuis quelque minutes dit alors :

______- Tu as penser au nom que tu allai lui donner à ton animal où pas encore ?
______- Il pourra répondre à ce nom quand je le prononcerai ? Fascinant !
______- Que penses-tu de « Splubby » ? Cela fera penser au bruit qu’il émet lorsqu’il se déplace et puis je trouve ça très orignal.
______- ** ne voulant pas vexer Mæntis et qui d’ailleurs trouvait aussi le nom à son goût ** Oui, c’est très joli.
______- ** qui paraissait ravi ** Je trouve que vous allez très bien ensemble. Bon, moi il faut que j’aille me chercher un autre bâton, dit-il avec joie.
______- Bonne chance Mæntis.
______- Merci.

______Mæntis se dirigeât vers le bas de la ville et Tozi décida de faire un petit stock de pommes pour ne pas à avoir à descendre constamment au marché. Quand elle le fit, elle sentait que Splubby lui souriait, mais n’étant sure de rien elle ne l’interpréta pas. Les jours qui suivirent, pour lui inculquer son nom au Poring, Tozi reculait de quelque pas et se mettant sur ses genoux faisait signe à son animal de venir vers elle. Lorsque celui-ci répondait à l’appel, Tozi le caressait et lui donnait un petit bout de pomme qu’elle avait découpée au préalable. Elle s’entraîna pendant deux jours avec son Poring et elle s’aperçut aussi qu’il prenait m’habitude de lui apporter un objet qui traînait au hasard dans la maison, mais Tozi une fois encore ne cherchait pas à interpréter ces actions.

Chapitre II : Splubby et le cartable

______Le jour de son retour à l’école de magie était arrivé, et Tozi, malgré son impatiente d’apprendre de nouveaux sortilèges, se fondit en larme lorsqu’il fallut dire au revoir à ses parents pour les six mois à venir. Paaty vint l’a chercher en PecoPeco pour l’emmener à Geffen. Elle ne se sentait vraiment pas à l’aise en chevauchant cet animal. Au bout de quelques minutes, elle se retourna et vit avec stupeur que son Poring ne les suivaient plus ! Elle n’y réfléchit pas à deux fois et fit tout de suite marche arrière, elle tapait de ses talons pour que le PecoPeco avance plus vite, mais rien à y faire, on aurait dit qu’il marchait toujours à la même allure quelque soit la situation. Paaty ne comprenant rien, l’a suivit car il était de son devoir de mener Tozi indemne à l’ école.
______Après quelques dizaines de mètres, Tozi aperçut enfin Splubby qui sautait en, travers du chemin. Encore une fois, Tozi ne put se retenir de taper avec ses talons le PecoPeco qui n’appréciant guère, l’a laissa basculée en arrière pour s’écraser lourdement sur le dos dans le sable. N’écoutant que son cœur, Tozi courut rejoindre son ami et le prit dans ses bras, « Comme tu m’as fait peur Slpubby !! J’ai crut t’avoir perdu pour toujours ! ». Elle se promit qu’à l’avenir, elle ne laisserait plus rien les séparer.
______Le voyage se termina sans encombres et Tozi n’arriva que légèrement en retard comparée à MeL qui faisait déjà les quatre cents pas dans leur dortoir.

______- MeL !!, cria Tozi visiblement trop heureuse de revoir son amie.
______- Tozi !!, cria MeL qui était aussi très joyeuse de revoir sa copine.
______- Alors, ca s’est bien passé les vacances ?
______- Une horreur ne m’en parle pas . . . Et toi ?

______C’est à ce moment que Splubby franchit la porte du dortoir. MeL qui comprit vite la raison de la présence de cet animal lui demanda :

______- Ca fait longtemps que tu as un Poring pour compagnon ?
______- Seulement quatre jours, mais je m’y suis déjà beaucoup attachée. J’ai pris des pommes dans mon sac au cas où il est faim avant ce soir.

______Le voyage avait duré toute la journée et Tozi était fatiguée, si bien que MeL et elle dormirent à poings fermés alors que le soleil venait juste de disparaître derrière les collines à l’ouest.
______Le lendemain matin , elle avait encore une journée de repos le temps que tous les élèves rejoignent l’école. Elle passa la matinée à montrer à MeL les prouesses que pouvait accomplir Splubby, tout en lui décrivant avec précision ses vacances, ses nouveaux amis, son amour pour les Porings . . .
______Le soir tombait, et Tozi n’étant pas fatiguée décida de sortir dans le couloir pour laisser MeL s’endormir, elle prit soin d’emmener Splubby avec elle ainsi qu’une pomme qu’ils partageraient le moment venu. Elle fit le tour de la tour où elle logeait et s’aperçut que la vue sur Geffen était splendide d’ici. Elle dominait la haute tour au centre de la ville sans pour autant en voir la haut car les nuages enveloppaient le dôme. ....</s

______Elle fit un demi tour dans la tour et distinguait à présent un large pond de marbre qui donnait dans un clairière un peu plus loin. Comme il faisait nuit, Tozi se dit que cela pourrait être l’objet d’une promenade avec MeL sans pour autant distinguer ce qui s’y passait vraiment. Après avoir observer pendant quelques minutes l’ensemble de la ville où elle logeait, Tozi alla se coucher.
______Le lendemain, elle s’était couchée tard et eut du mal à se réveiller. Elle se coiffa et s’habilla en hâte et sorti de la chambre pour aller rejoindre MeL dans le couloir. Une sonnerie assez stridente retentit et fit sursauter Tozi qui comprit à ce moment qu’elle était parti pour six mois de cours avec en fin de cycle l’examen de magie de premier ordre. Elle arriva en classe et s’installa au bureau qui avait été le sien pendant les premiers mois de cours. Puis soudain, elle fut prise de frissons terribles, anxieuse, elle se demanda où elle avait bien pu laisser son cartable. Autour d’elle , les élèves commençaient à tourner leurs regards vers elle car Tozi était la seule debout et le cours semblait n’attendre qu’elle pour débuter. Après quelques secondes de stupeur, elle demanda en bredouillant si elle pouvait aller chercher son sac qu’elle avait oublier de prendre.
______Certains élèves pouffèrent de rire et Tozi leur jeta un regard assassin. Lorsqu’elle ouvrit la porte pour se diriger vers sa chambre, elle vit que Splubby avait attacher le cartable dans son dos bien qu’elle ne comprit pas comment il avait pu s’y prendre. Elle essaya de dissimuler son animal pour ne pas être la risée de toute la classe mais son Poring visiblement trop heureux de l’avoir trouvée, commença à sautiller en rond dans le couloir « Splub ! Splub ! ». La dame qui leur faisait les cours de sortilège élémentaire, se demandant ce qui se passait et la raison qui poussait Tozi à ne pas bouger au lieu de se dépêcher d’aller chercher son sac, s’écriât :

______- Allons qu’attendez-vous !
______- ** qui sentit son sang se glacer, et son corps parcourut de frissons insupportable ** Je …
______- La dame se leva d’un bond de son bureau et ouvrit la porte en grand.

______La scène était pitoyable, un Poring avec son cartable accroché dans le dos tournoyait autour d’elle en faisant le bruit si étrange qui caractérisait son déplacement. Pour calmer le fou rire général qui avait envahit la classe, elle décida de punir Tozi en lui faisant copier cent fois « Je ne dois pas apporter d’animaux en cours. ». Cette punition bête et méchante s’ajouta à la honte que Tozi ressentit tout au long du cours, elle jetait parfois des regards désespérés vers MeL, mais celle-ci était trop prise par le cours pour daigner la regarder. La cloche retentit, et Tozi sortit en première de la salle, dès qu’elle fut sure de ne pas être entendu par des oreilles indiscrètes, elle pesta contre cette dame qui avait osée la ridiculiser …
______Tozi passa la soirée à faire ses lignes pendant que MeL sympathisait avec Splubby. Le lendemain, Tozi se leva plus tôt pour être sure qu’elle n’oublierai rien. Quelle ne fut pas sa surprise lorsqu’elle découvrit que son Poring avait encore son cartable dans le dos. « Aller rends-le moi » lui disait t’elle. Mais rien n’y faisait, Splubby paraissait visiblement très attaché au cartable de sa maîtresse, et Tozi n’eut pas le cœur à le lui arracher. Elle décida à ce moment de lui laisser son cartable en y mettant en sécurité son journal intime où elle n’avait pas noté grand chose depuis noël. MeL l’aida donc à porter ses livres tout en ayant son propre cartable dans le dos, et ceci chaque matin.

Chapitre III : Les sorts qui affectent l’esprit

______Les mois passèrent à une vitesse folle, et Tozi ne se rendit pas compte que les examens approchaient, pourtant, quelque bon éléments de sa classe commençaient d’évoquer les révisions. Elle se contentant de nouer des liens inaliénables avec Splubby, qui de semaines en semaines, lui accordait de plus en plus d’attention et de regards complices. La partie la plus difficile du programme allait être abordée : les sorts qui affectent l’esprit.
______Un magicien d’un âge avancé devait en quelques semaines leur apprendre à maîtriser le choc spectral. Tozi avait hâte de commencer. Elle s’était même préparée psychiquement car elle avait lu dans un livre que seule une grande concentration permettait de lancer des sortilège affectant l’esprit.
______Le premier cours fut surtout théorique, et Tozi n’apprit rien de plus que ce qu’elle avait lu. Le lendemain se révéla beaucoup plus intéressant. En effet, la théorique laissait place à la pratique, pour cela, les bureaux étaient regroupés aux quatre coins de la salle et le centre, où se tenait leur professeur entouré de ses élèves ressemblait maintenant à une assemblée à l’image de celle que Tozi se faisait de la table où devaient se réunir, le Roi, ses chevaliers, et le précepteur qui n’était autre que le père de Chinow. Elle pensa à ce moment que c’était la conséquence des mauvais traitement qu’on lui infligeait et se senti encore plus prise de pitié par ce garçon.
______Après s’être, involontairement, longuement pencher sur le cas de Chinow elle se fit rappeler à l’ordre par le professeur qui lui demanda de lancer un « Choc Spectral ». Tozi qui n’avait rien écouté du cours, se vit dans l’obligation d’improviser. Elle se concentra sur le professeur et d’un coup elle sentit que le sortilège était près, elle se concentra alors sur sa cible et de petites fumées blanches apparurent autour du professeur qui comme simple réaction eu de frapper dans ses mains.

______ - Bravo ! C’était un très bon début. Je pense que tu as des talents pour ce genre de sorts. Ils doivent être mis à profit, et si tu le veux bien, tu viendras me voir à la fin du cours.

______Tozi toute flattée n’obtenu pas vraiment des encouragements de ses camarades mais elle s’en fichait car seul lui importa le sourire complice que MeL lui fit pour l’a félicité. Plusieurs élèves s’essayèrent au même exercice que Tozi mais aucun ne parvint à faire aussi clairement apparaître de fumées, elle en fut de surcroît satisfaite et lança des regards de défis aux élèves qui échouaient ( lamentablement selon elle ).
A la fin du cours, elle alla donc voir le professeur qui lui dit :

______- Tozi, ton potentiel dans cette matière est élevé, mais si tu veux approfondir tes aptitudes dans cette voie, il te faudra encore rester jusqu’au prochain noël ici. En effet, je me chargerais moi même de ton apprentissage, et à la fin de ton cycle, tu maîtrisera la mur de protection. Ceci me semble très pratique car tu n’arrive pas à invoquer un mur de feu.
______- Mais si je reste jusqu’à noël, je ne passerais pas le test à la fin de l’année ??
______- Non, tu en sera dispensé, du moins, tu n’aura pas à subir l’épreuve théorique et la quête pratique sera ton défi.
______- D’accord, dit Tozi visiblement enchantée à l’idée d’avoir un mur de protection.

______Elle sorti de la salle et se précipita dans sa chambre où elle pensais retrouver. . .

______- MeL !
______- Oui ?
______- Je vais apprendre le mur de protection avec le professeur de magie non-élémentaire.
______- Mais alors, tu ne passes pas tes examens dans trois semaines ?
______- Non.
______- Quelle vaine ! Je dois tout revoir de a à z.
______- L’inconvénient, c’est que je devrais rester ici jusqu’à noël prochain.
______- Arf. Ca ne te gene pas de rester ici alors que nous tous, nous auront noter brevet de magie du second degré ?
______- Monsieur Aegal m’a dit que si j’apprenais le mur de protection, cela compenserait mon déficit dans le mur de feu.
______- Au fait, viens dehors, il faut que je te montre quelque chose.
______- D’accord.

______Elles sortirent dans le rue qui passait devant l’école, et MeL fit signe à Tozi de l’a rejoindre en haut de la ville. MeL se concentra sur un arbre, et au plus grand étonnement de Tozi, elle commença à se déplacer tout en restant concentrée, deux petites secondes plus tard, un éclair s’abatis sur le palmier qu’elle avait pris pour cible.

______- C’est extraordinaire, dit Tozi qui n’en croyait pas ses yeux.
______- J’ai découvert ça pendant que tu étais avec monsieur Aegal.
______- Ca te fait un énorme avantage, si tu sais déjà un peu bouger lorsque tu lance un sortilège, pour devenir Sage.
______- En effet, et je compte bien passer les tests d‘aptitudes de Sage dans trois semaines.
______- Moi, je pense passer l’épreuve pratique d’Ensorceleur pour noël prochain.
______- Tu as toute tes chances.
______- Demain, c’est à toi de faire tes preuves, dit-elle en souriant.

______Puis elles retournèrent dans leur dortoir où elle passèrent une nuit calme qui ne laissait rien entrevoir de ce que serait les examens.

Chapitre IV : MeL, la voie de la sagesse

______En effet, pour beaucoup, les tests théorique furent un rempart pour leur élévation au grade de magie de second degré. Pourtant, MeL réussit avec bravoure ce test, ceci lui permettant de montrer ses capacités magiques devant un jury. Tozi se contenta de se languir dans le dortoir en jouant avec Splubby.
Lorsque MeL franchit la porte du dortoir, Tozi ne l’a vit pas tout de suite car elle dormait à moitié, mais lorsqu’elle se releva, les yeux tout écarquillés, sa première parole fut un long « Waaaa » d’admiration.

______- Tu es resplendissante, dit-elle avec tout autant d’admiration qu’elle en avait laisser échapper lorsqu’elle l’avait vu.
______- Oui !! Mon père sera tellement content. Je pourrais l’assister dans ses travaux pour l’académie des sciences. J’ai enfin trouvé ma voie, dit-elle fièrement.
______- Je viendrai te voir dès que j’aurai décroché mon examen d’Ensorceleuse.
______- Bon, je pars très tôt demain pour Yuno, je ne penses pas que tu veuilles te lever pour si peu . . .
______- Tu plaisantes !?
______- D’accord, lever à l’aube, dit-elle tout sourire.
______- Ca marche.

______Le lendemain, Tozi se réveilla bien avant l’heure du départ de MeL, et songeât à son avenir. Jusqu’à lors, elle n’y avait aucunement pensé, et ne s’était jamais posé de question sur ce qu’elle ferait une fois adulte. Elle savait ce qu’elle ne ferait pas , travailler à la forge de son père, bien qu’elle s’en voulut de ne pas être la fille modèle que MeL avait été. Tozi resta longtemps couchée sur le dos à regarder béatement le plafond parsemé des premières lueurs de l’aube, lorsqu’une voix familière dit à côté d’elle :

______- Tu dors ?
______- Non.
______- Les premiers rayons de soleils montrent le bout de leur nez, nous ferions bien de nous lever pour de pas être en retard.
______- D’accord, dit Tozi en baillant.

______MeL courut puis sauta dans les bras de son père lorsqu’elle l’aperçu. Il portait une jolie écharpe blanche sûrement faites de tissu animal, et Tozi eu une pensée de dégoût en pensant à la façon dont le pauvre animal avait du être tué . Après de langoureux adieux, Tozi retourna dans le dortoir et récupéra ses affaires puis alla attendre son père dehors. Les retrouvailles n’en furent pas moins heureuses, bien que son père ait d’abord craint à un échec, il fut tout de suite réconforté de savoir en quoi allait consister sa fin d’apprentissage. Puis il partir en direction de Prontera. Tozi était impatiente de savoir ce qu’elle avait manqué, mais épuisée, elle dormit tout au long du voyage.


______Quatrième partie : La fin de l’apprentissage

Chapitre I : Un amant inattendu

______Après avoir sauté dans les bras de sa mère, Tozi monta les escaliers quatre par quatre, ouvrit la porte de sa chambre, se jeta sur son lit et, regardant le plafond d’un air rêveur, repensa à tout ce qui s’était passé pour elle depuis ce noël, où contre la volonté de ses parents, elle avait décidé de se lancer dans la magie. Elle ne regrettais rien et ne semblait pas avoir déçu ses parents. Malgré tout, elle doutait quand à ce qui adviendrai d’elle une fois sa formation de magicienne achevée.
______Elle alla se poster à sa fenêtre pour voir si la fontaine était toujours là. Tozi ouvrit la fenêtre un peu grinçante de sa chambre, et qu’elle ne fut pas sa surprise lorsqu’elle vit un magnifique bouquet de fleur sur sa fenêtre. Elle le prit et se pencha le nez en avant pour sentir tout les parfums qui s’en dégageaient. Il n’y avait pas de mot attaché mais elle avait le pressentiment que ça devait être quelqu’un de Prontera car hormis à l’école où elle ne parlait qu’avec MeL, elle n’avait d’amis que dans sa ville natale.
______Tozi redescendit les escaliers le bouquet à la main et son père ne fut pas étonné de l’a voir avec ce présent dans les mains car il avait vu crapahuter Chinow la veille sur le toit. Ce qu’il s’empressa d’expliquer à sa fille pour ne pas l’a laissé douter de sa provenance. Tozi fut toute retournée lorsqu’elle prie conscience de ce qui lui arrivait. Chinow, le fils du collecteur d’impôts lui avait déclaré sa flamme. Elle se remémora les nombreuses fois où elle l’avait vu, éprise de pitié humilié par les autres enfants de son âge . . .
______Le soir, Splubby sautillait de partout dans sa chambre et elle mit longtemps à s’endormir car elle réfléchissait à son avenir, bien qu’elle n’en soit pas sur à ce moment, elle se rendit compte qu’elle aimerait beaucoup revoir Chinow pour avoir de ces nouvelles. En effet, elle ne savait pas grand chose sur lui car elle n’était pas restée très longtemps dans la capitale cette année. Après avoir parcourut de long en large tout ce qui lui passait par la tête, elle s’endormit.


Chapitre II : Les vacances

______Tozi passait le plus clair de son temps entre la bibliothèque et sa chambre où elle lisait avec passion de nombreux ouvrages traitant de l’histoire de Midgard. Il y avait dans la plupart de ceux-ci de nombreuses allusions à de grands monstres réputés comme immortels. Elle aurait tellement aimer en affronter un lorsqu’elle serait prête.
______Tozi lisait aussi beaucoup de livre contant des destins d’homme et de femme célèbres. Elle avait hâte de reprendre l’école pour enfin achever sa formation et partir découvrir le monde Tozi devint aussi une bonne amie de la dame s’occupant de la bibliothèque, et celle-ci lui conseillait des ouvrages qui seraient susceptibles de l’intéresser. Elle compléta son journal intime en y recopiant toute les descriptions de monstres qu’elle trouvait dans les ouvrages qu’elle dévorait avec ferveur.
______Mais ne perdant pas le nord, elle refaisait chaque jour ses incantations de bases pour ne pas perdre la main, et de ce fait elle y gagna en rapidité d’exécution. A la fin de l’été elle maîtrisait chacun de ces sortilèges en puissance et en incantation. Bien qu’elle eut un mépris à lancer des sortilèges de feu, et avec le temps elle en oublia le secret. En revanche, elle refaisait encore et encore les sortilèges qu affectent l’esprit car son domaine de connaissance tendait à s’élargir dans cette direction pour la fin de sa formation.
______Splubby était désormais proche d’elle comme jamais il ne l’avait été et il lui témoignai des signes d’affection à chaque regarde qu’elle posait sur lui. Il lui arrivait même de le prendre dans ses bras pour lui faire un gros bisous sur le front. Cela avait pour effet de faire rougir son petit compagnon. Durant les vacances, elle ne revit ni Mæntis, ni Chidori et soufra un peu de solitude. Tozi attendait désespérément la fin des vacances pour enfin achever sa formation. Elle était prête, elle le sentait.

Chapitre III : L’achèvement de la formation

______De retour à l’académie de magie, elle découvrit à son grand désarrois que MeL ne serait pas la pour lui tenir compagnie en cette fin de cycle. Elle errait donc seule dans les couloirs pendant son temps libre, mais cela lui laissait plus de temps pour réfléchir à son avenir.
______Les cours reprenait le lendemain, et Tozi répétait inlassablement ses sortilèges. Si le temps qui lui était imparti avait été nécessaire, elel aurait souhaiter connaître les bases en sortilège de feu mais malheureusement, les sorts qu’elle connaissait déjà lui encombrait beaucoup l’esprit. Splubby était toujours derrière elel mais déçue qu’il ne puisse assister aux cours, elle se promit de lui faire des démonstrations de ses progrès fréquemment.
______Au petit matin, Tozi était déjà réveillée, et Splubby qui sautait sur ses couvertures en signe d’affection. Elle lui gratouilla la tête et après avoir vérifié que son journal intime était toujours dans le cartable de son Poring, elle prit le livre d’incantation des sort affectant l’esprit de niveau deux et quitta sa chambre pour aller rejoindre sa nouvelle salle de classe.
______Elle arriva un peu avant l’heure et prit donc le temps de faire connaissance avec ceux qu’elle n’avait jamais vu. Il y avait un jeune garçon avec une longue cap, le regard pétillant, pour lequel elle trouva tout de suite un intérêt notable.

______ - Bonjour, dit-elle timidement
______- Salut, lui répondant-il d’un ton jovial.
______- Comment te prénommes-tu ?
______- Aethir, et toi ?
______- Tozi. Comment se fait-il que tu ne porte pas le même uniforme que nous ?
______- Hé bien, tout simplement car je susi un Ensorceleur.
______ - Waaa, laisse échapper Tozi d’un ton admiratif
______- Je viens dans cette classe pour apprendre la barrière des âmes, car ce sortilège me serait très utile pour affiner mes compétences.
______- D’accord. Je. . .

______Elle fut coupée par la venue d’un homme avec une longue tenue verdoyante, qui ressemblait fort à celle du au père de MeL. Elle en conclut donc qu’il s’agissait d’un homme de haut rang dans la hiérarchie de la magie. Les cours commencèrent directement par de la pratique car le temps leur manquait et la maîtrise de la barrière des âmes n’était pas une mince affaire. Aethir fut le premier à obtenir une pâle lueur rosâtre autour de lui. Mais Tozi n’obtenait à ce jour encore aucun résultat notable.
______Aethir maîtrisait désormais parfaitement la barrière des âmes, et Tozi le vit réussir à la maintenir pendant plus de dix coup d’épée. Elle était partagée entre l’admiration qu’elle partait pour Aethir, et ses échecs répétés qui commençait à la rendre soucieuse. Elle n’arrivait toujours pas à activer les propriétés magiques de la pierre bleue qu’elle avait du acheter comme fourniture.
______Lorsque Aethir passa l’épreuve, il l’a réussit sans mal et cela lui valu un tonnerre d’applaudissements lorsqu’il franchit tout sourire l’entrée de leur salle de cours. Il décidé gentiment de rester pour aider les élèves en difficulté par des conseils pratiques et un soutient moral.
______Toute heureuse, Tozi alla lui demander conseil, il lui dit que la première chose sur laquelle il fallait se concentrer était l’endroit où l’on voulait le créer. Après plusieurs tentative, Tozi ariva enfin à utiliser les propriétés de la gemme correctement et sous le regard admiratif de Aethir, fut fière d’elle.
______De jours en jours, Tozi faisait apparaître un mur circulaire de plus une plus vif, de plus en plus durable. Si bien qu’à la fin, elle arrivait presque à obtenir le même résultat que Aethir. Mais, ayant passé toute son argent dans l’achat de pommes et des gemmes, elle se contraint d’arrêter ses exercices en attendant l’évaluation.
______L’heure de l’échéance arrivait, et Tozi révisait encore et encore ses sortilèges. Mais, ne pouvant s’entraîner à créer des barrières des âmes, elle mimait simplement le geste avec sa baguette en signe d’exercice.

Chapitre IV : L’avènement d’une Ensorceleuse

______Le jour de son test, Tozi toute anxieuse se
rongeait les ongles, cela faisait plus de dix minutes qu’elle se trouvait dans une sorte d’isoloir à la différence qu’elle aurait aimer ne pas être seule. Elle eut le temps de repenser à tout ce qu’elle avait apprit durant sa formation, et avait prit soin de dépenser l’ensemble de l’argent qui lui restait dans des gemmes bleues pour ne pas en manquer. La salle de test de trouvait dans la plus haute salle de la plus haute tour de tout Geffen, et parvenir tout en haut était déjà une victoire en soit.
______Elle fut finalement appelée, on lui décrit brièvement en quoi consisterait son épreuve :

______- Premièrement, vous devrez venir à bout de monstres de type eau, puis vous enchaînerez après un court répit par une arène pleine de monstre de type terre, et enfin, vous devrez vaincre des monstres de type feu. Les compagnons ne sont pas admis en salle de test, c’est pourquoi je vous demanderait de bien vouloir remettre voter Poring à la dame qui se trouve là-bas **elle lui indiqua une espèce de salle où se trouvait des cages plus ou moins grande**.

______- Je dois vraiment mettre mon Poring dans ces affreuses cages ?
______- Oui, il le faut.
______- Mais, il n’ai même pas offensif, et nous ne nous quittons jamais, dit-elle d’un regard implorant
______- Les règles disent clairement…
______- S’il vous plait, continua-t-elle d’un ton implorant______- Bon, je veux bien vous accorder cette faveur, en revanche, vous devez lui enlever son accessoire.
______- Mais…
______- Allons pressons !
______- Bon très bien.

______Splubby lui fit grise mine lorsqu’elle lui ôta son sac à dos, il était déboussoler, et resta donc tout près de Tozi. Juste avant de pénétrer dans la première salle, elle vit un magicien grièvement blessé qui sortait sur en se tenant le visage. Tozi parvint à déceler un soupçon de triomphe dans ses yeux, et elle comprit qu’il avait réussit. Elle se rendit alors compte de l’ampleur de la tâche qu’elle allait devoir accomplir.
______Elle passa sans mal la première salle grâce à son sortilège de boule de foudre. Mais la deuxième salle lui réservait une très mauvaise surprise, étant trop occupée par Splubby lors de l’annonciation de l’épreuve, elle avait omit d’écouter en quoi allait consister les différentes épreuves qu’on lui soumettait. Dépourvue de totu sortilège de feu, elle se rattrapa tant bien que mal avec ses sorts affectant l’esprit tout en abusant de l’a barrière des âmes.
______Après une lutte acharnée, elle sortit vainqueur de cette horde de monstre et entendit cette fois un haut parleur l’informer que la dernière salle serait d’une difficulté plus relevée. Et que les monstres de cette arène serait tous de type feu. Grâce à ses sortilèges telle que rivière glacée ou encore trait de glace, elle parvint avec moins de difficulté à venir à bout de cette horde de monstres. Tozi prit Splubby dans ses bras et sautilla de joie en tournant avec lui. Elle sortit de la salle sans une égratignure. Fière, elle lançait des regards de défis aux prochains qui allait être soumit au test.

______Epilogue :

______On lui remit sa cape d’Ensorceleuse, son diplôme, qu’elle glissa dans le sac à dos de Splubby et enfin des encouragements vis à vis de son avenir.

______- Vous êtes conviez à revenir à l’académie dès qu’il vous plaira, je vous souhaite bonne chance pour la suite. Il faudra que vous appreniez vous même les ficelles du métier ainsi que les sorts d’une puissance telle qu’ils pourraient vaincre une armée à eux seul.
______- Merci, dit tout simplement Tozi

______Une vie d’aventure et défi s’offrait à elle, elle repassa voir ses parents pour leur dire au revoir, puis elle parti explorer le vaste monde de Midgard en compagnie de Splubby, et de la conviction de revoir Chinow, Mæntis, et Chidori avec qui elle avait grandi.


J'espere que ça plaira à tout les gens qui auront le courage de me lire.

Trop long a lire ...
Me faudra bien 6 mois pour le finir

Moi j'adore >.<

Moi je dis Bravo a Toz, il en faut de la volonté pour écrire tou ca

Félicitation

C'était trop bien
Bravo

Waho,genial!

tros la flaime de lire
mais chapo tozi car il en faut du courage